Hors concours ( 20 mots imposés )
La pêche du bord de mer...
Quelle belle journée ! La mer roule ses galets en cadence,
Les rochers, sentinelles immobiles attendent le pêcheur.
Ici, pas de saules pleureurs, nous sommes en Provence.
Les rivières serpentent au soleil brûlant avec langueur...
Mer tranquille, parfois en furie, appelant les bateaux...
On y pêche avec la canne mais aussi avec l'épuisette.
Des oursins noirs, aïe ! on peut déloger au fond des eaux,
Uniquement pour les courageux et ne pas faire trempette !
On peut y capturer loups et daurades non loin de la jetée,
Armé de lignes au fil très résistant et d'un gros moulinet.
Les restaurants méditerranéens ont leur clientèle attitrée,
Ne désemplissent pas, sous les parasols affichent complet.
Pendant que sur les plages fusent les rires de la jeunesse,
D'autres jouent à cache-cache dans les buissons fleuris...
Les lauriers et le palmiers dénotent une certaine richesse
En arrière-plan, où trône le fleuron de jolis sites nantis...
Sur la côte escarpée, impossible d'installer un fauteuil,
L'habitué du bord de mer ne chaussant pas de bottines
Sur sa barque, arborant une casquette, en fait son deuil.
Il a le bon appât...top secret ! et possède les combines...
L'odeur des pins maritimes s'envole aux souffles éoliens,
Berce le restaurateur qui rêve d'être en cuisine, le ténor...
Poissons-chats ? nenni à la Criée régalant les chiens,
Qui filent babines au vent en direction du vieux port...
Où un joyeux attroupement danse autour des pêcheurs
Exhibant leurs trouvailles, tout en contant des histoires
De fils emmêlés, tandis que sous l'ombrage, le bonheur
Chante tel un oiseau, jette à la mer sa bouteille d'espoir...
La pêche du bord de mer...
Quelle belle journée ! La mer roule ses galets en cadence,
Les rochers, sentinelles immobiles attendent le pêcheur.
Ici, pas de saules pleureurs, nous sommes en Provence.
Les rivières serpentent au soleil brûlant avec langueur...
Mer tranquille, parfois en furie, appelant les bateaux...
On y pêche avec la canne mais aussi avec l'épuisette.
Des oursins noirs, aïe ! on peut déloger au fond des eaux,
Uniquement pour les courageux et ne pas faire trempette !
On peut y capturer loups et daurades non loin de la jetée,
Armé de lignes au fil très résistant et d'un gros moulinet.
Les restaurants méditerranéens ont leur clientèle attitrée,
Ne désemplissent pas, sous les parasols affichent complet.
Pendant que sur les plages fusent les rires de la jeunesse,
D'autres jouent à cache-cache dans les buissons fleuris...
Les lauriers et le palmiers dénotent une certaine richesse
En arrière-plan, où trône le fleuron de jolis sites nantis...
Sur la côte escarpée, impossible d'installer un fauteuil,
L'habitué du bord de mer ne chaussant pas de bottines
Sur sa barque, arborant une casquette, en fait son deuil.
Il a le bon appât...top secret ! et possède les combines...
L'odeur des pins maritimes s'envole aux souffles éoliens,
Berce le restaurateur qui rêve d'être en cuisine, le ténor...
Poissons-chats ? nenni à la Criée régalant les chiens,
Qui filent babines au vent en direction du vieux port...
Où un joyeux attroupement danse autour des pêcheurs
Exhibant leurs trouvailles, tout en contant des histoires
De fils emmêlés, tandis que sous l'ombrage, le bonheur
Chante tel un oiseau, jette à la mer sa bouteille d'espoir...
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